Es, pues, de saber que este sobredicho hidalgo, los ratos que estaba ocioso, que eran los más del año, se daba a leer.
Je cherche dans la mort la vie, Dans la prison la liberté, La santé dans la maladie, Dans le traître la loyauté. Mais mon infortune est si grande Que le destin impatienté, Si l'impossible je demande, M'a le possible refusé.